mercredi 11 février 2009

LA légende de la Cité de Carcassonne 1





Il était une fois à la Cité, c'était il y a plusieurs décennies, un citadin décida de diversifier ses activités et fit pour des raisons pécuniaires évidentes un élevage d'escargots. le site s'y prêtait puisque dans les lices il y avait une herbe (autrefois) tendre, drue et de bonne qualité, après avoir acquis des chiens de troupeaux spécialisés, de décida procéder à un élevage rationnel.
il commença donc à créer un enclos et à parquer son troupeau entre deux tours, comme il y avait déjà 52 tours,le calcul fut simple, une semaine de pâturage par intervalle de tours.
cette affaire tournait bien, la nuit les escargots se reposaient et dormaient surveillés par les chiens. Des potron minet ils se réveillaient, ils avaient bien dormi serrés les uns contre les autres.........comme le font les moutons. le réveil se faisait bien sûr avec beaucoup de bruit ce qui réveillait les citadins qui disaient :" aqui los cagarots qué sounont" et progressivement de fil en aiguille c'est devenu le cagarot sonne et enfin carcassonne. Voilà donc la véritable origine du nom de Carcassonne que l'on racontait le soir à la veillée un verre de rosé bien frais dans les mains.
Mais à force de tourner dans le même sens, les escargots furent atteints d'une déviation de la colonne vertébrale, un genre de lordose, maladie rare et orpheline,ayant le cou tordu et ne voyant pas devant eux, ils n'arrivaient plus à atteler mme cagarote qui se trouvait devant eux, ce qui provoqua une baisse de natalité de reproduction de cette succulente variété d'escargots dont la publicité sur les panneaux d'affichage dans la ville basse était: " amb el cagarot de ciutat, sios sigur de pla mangear " ainsi donc disparu le fameux escargot de la Cité, dont est resté le nom de carcassonne. un dernier éleveur qui habitait porte d'aude avait raconté cette légende, il fit une dernière tentative dans sa maison et disparu à son tout. quant à l'autre légende, celle de Dame Carcas elle serait fausse et inventée par le syndicat d'initiative de l'époque aux mains de hobereaux locaux.

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