dimanche 31 janvier 2016

Hier et aujourd'hui La neige sur la Cité





Quelques dizaines d'années séparent ces deux photographies.


vendredi 29 janvier 2016

Faire part de décés



C'est avec beaucoup de peine que je vous signale le décès d'un arbre, d'un pin parasol qui a abrité de la rage du soleil nombre de pétanqueurs qui l'affrontaient avec courage.
les paratonnerres ayant pratiquement disparus, notre pin parasol en a assuré la fonction.Une longue balafre le long de son tronc est toujours apparente.


lundi 25 janvier 2016

Photographies du mois de novembre

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Pour le plaisir de yeux des photographies du mois mois de novembre 2015












jeudi 21 janvier 2016

Une "Ymaige" de la Cité de Carcassonne debut du 14ème siècle peinte sur une verrière de l'Eglise Saint Nazaire




Dans les années 1920 le Chanoine Joseph Cals constate que :" Dans l'ensemble des belles verrières de la Basilique Saint Nazaire et Celse en la Cité de Carcassonne on n'a jamais remarqué comme il convient, du moins à notre, avis les deux panneaux inférieurs du vitrail des Saints Nazaire et Celse (principaux épisodes de la vie de ces deux martyrs"
Sa thèse : Il y a là une représentation réduite, une "ymaige" originale de la Cité de Carcassonne au début du XIVème siècle.
Selon Joseph Cals la Cité est partagée, par l'auteur du vitrail, presque en ligne droite de la Porte de Narbonne à la Porte de Toulouse ou Porte d'Aude.
Chacun des panneaux représente donc une moitié de la Cité, ce partage de toute la Cité permet d'analyser les détails de chacun des panneaux.


partie septentrionale de la Cité
le n°1 la Tour de la Justice le n°2 la Tour Pinte
le n°3 la Tour de la Chapelle le n°4 le Château Comtal
le n°5 la Tour du Major le n°6 la Barbacane Notre Dame
le n°7 la Tour du Trésaut le n°8 la tour Septentrionale du château Narbonnais.
le n°9 Eglise Sainte Marie du Sauveur (Grand Séminaire)






Partie méridionale de la Cité
le n°1 Barbacane Saint Louis
les deux édicules N°2 et n°7 l'église aujourd'hui disparue de Saint Sernin et au soleil couchant la Cathédrale Saint Nazaire
le n°4 Tour de la Vade le n°5 Grande tour St Nazaire
le n°8 Tour ronde de l’Évêché, n°9 tour du Four Saint Nazaire
le n°3 sorte de carré avec des croix le cimetière



Quant aux noms des trois villes ( toujours selon le Chanoine Cals) elles sont étroitement associées aux souvenirs de Saint Nazaire et de Saint Celse : Rome, (Camellus) Cimiez et Milan. Les deux premières  furent témoins de leur naissance et la troisième est le lieu de leur commun martyre.
A la suite des arguments exposés par le Chanoine je dois avouer que cette étude me séduit.
Ces deux panneaux semblent être effectivement la représentation de la Cite vue côté nord et vue côté midi. Dans un espace aussi réduit, le Maître artisan a su montrer tous les lieux importants de la cité de façon et aux couleurs symboliques. 

Jacques Charpentier, 72 Études karnatiques, for piano (1957--84)

mercredi 20 janvier 2016

Une cérémonie


Samedi 16 janvier 2016 la Dépêche du midi publiait l'article ci-joint


Jacques Charpentier, ami de Jean Deschamps a habité dans les années 60.70 dans la Cité, rue Roger Trencavel. Aujourd'hui son habitation a été transformée en maison d'hôtes .


Jacques Charpentier est un compositeur, chef d'orchestre, organiste et pianiste,
L'histoire de Béatris de Planissoles a inspiré un opéra à Jacques Charpentier " Béatris de Planisolas" Châtelaine de Montaillou, accusée par l'inquisition d'avoir eu des rapports avec un prêtre cathare. Cette histoire d'amour passionnel est sur un livret du poète René Nelli.
L'Opéra fut créé en 1974 à Aix en Provence, il reste le seul Opéra en langue occitane.


mardi 19 janvier 2016

dimanche 17 janvier 2016

Chanson La Poulido Partisano


  C'est dans les trésors de notre ami Guitou que nous avons trouvé des partitions de musique datant d'avant et d'après la guerre de 14.18. Il y en a une qui a retenu particulièrement notre attention c'est la Poulido Partisano , paroles et musique d'Antonin Bossy et de Vincent Scotto.
 Cette chanson fut chantée par Darbon Marc qui est le personnage Marseillais type avec entre autres "c'est le pastis" "entre donc Fada".
Darbon est né en 1879 et décédé en 1930.

La Poulido Partisano ou la jolie marchande de légumes est une chanson grivoise avec des expressions patoisantes qui évoque une certaine ambiance des rues de Marseille.



Sieu misé Madon
la fille à Toinon
la plus gaïo Partisano
je vends des primeurs
cachofl's et choux fleurs
Doou cours Julian à la Plano
On me voit partout
Je fréquente surtout "l'esposition éléctrique"
c'est je l'avoue franchement
un endroit "magnifique"
ou je vais très souvent.

Parlé :Ah! oui j'y vais très souvent la première fois ce que j'ai vu d'abord en entrant es un moussu su uno cadiéro à bicyclette et qui me dit: " voulez vous Madame que je vous véhicule?" an a vehicula voustré cousino an a Satyre! n'empêche qu'en voyant les lumières j'ai pas pu m’empêcher de m'écrier:

Aïe moun diou que c'est joli
Aïe moun diou j'en suis ravi'
qué dé plési
Voui ma belle
Aïe Aïe Aïe
Tout s'éteint subit'ment
Par derrière on s'sent frotté
vive l'éléctricité

Comme "distractions"
Y a des "attractions"
Qui ne sont pas ordinaires
Ya des cinémas,
concerts, opéra
Y a même une sorcière
aussi sans tarder
pour me faire tirer
un peu la bonne aventure
chez Miloska j'suis allé
et j'en suis, je vous jure
encore estomaqué.

Parlé: Compréni qué n'en siou estommagade a dévina que voou mi marida, m'a mêmé dit : le jour de votre noce vous aurez une surprise..... vous recevrez quelque chose de bon!... Sabi pas cé qu'es! Li vouliou retorna, maï paraï qué les plus ! Es malauto Yiéou crési qu'avié troou manga dès mélams! Mé cé qué Miloska gagno.... Si n'en pooun paga. Tout de mêmé quand je pense à elle forçade de diré:

Aïe moun diou qu'elle est joli'
Aïe moun diou j'en suis ravi',
Elle a vu la raie d'ma vi',
Voui ma belle,
Après la raie du bonheur
même la raie de mon coeur,
y'a qu'un' raie qu'elle a pas vu
j'étais assise dessus!

Puis je suis allé
voir dans les palais
les appareils qu'on "espose"
là chaque gardien 
m'a montré le sien
sans que je lui propose
c'était épatant
quand tout à coup, v'lan
je reçois une secousse
lou gardien, quéou sacrispan
ma vié mé, quelle frousse
soun cave din la man;

Parlé: Aquéou bourréou, qu'unt esfraï qué m'a fa. A jus appuya su d'un pichoun boutoun et aussitôt je me suis sentie toute brandouillée. Parceque pour toucher ces choses là sans danger , il faut être sur du bois; J'étais justement appuyée sur lui et comme il n'est pas de bois..... j'ai reçu la décharge..... électrique. Après m'a fa veïré touti les machinos, maï sabi pas perqué, la sen qué dé cavo per leï cocottes, y'a les plots pour celles qu'on veut se faire p'lotter, le dijecteur, leletomètre, la mêmé un cavo loung et pounchu qué si dit lou parafoudre, boudiou alors faou s'assetta qui dessus.

Aïe moun diou que c'est joli,
Aïe moun diou j'en suis ravi',
crésiou qu'anavi mourri,
Voui ma belle
Aïe , m'a fa tout boulégua,
Aïe, poudiou plus lou lacha,
qu'il éléctrocute bien,
quéou monstre d'électricien
on a même eu,
l'idée biscornu'
de faire un concours d'ombrelles
mais tous les messieurs
m'ont dit que ce jeu
n'en valait pas leur chandelle
ils auraient compris
encore que l'on fit
un concours de parapluies
on l'aurait pas fait pour rien,
je gagnais je parie, en faisant voir le mien.

Parlé: Toqué es iou, qu'aï lou plus gros parassoun d' aou marca. Et es tou noouvé! es pas troouca!
Ce que j'ai trouvé à " l'esposition" c'est les balançoires électriques!! A quo ô qu'es beou aquéou mon vamen qué viva.... ce petit va-z et vient .... j'ai fait trois fois le voyage ma belle. Figura vous qu'à cousta dé iou l'avié un joueïné hommé qui mi regardavo tout lou ten. Quand nous avons fini il a voulu quand même me faire recommencer alors qué voulé j'y suis allé encore de mon voyage tout en disant

Aïe moun diou que c'est joli
Aïe moun diou j'en suis ravi'
je semblais au paradis
Voui ma belle
Et j'ai eu tant de bonheur
que je crie du fond du coeur
maintenant que j'en ai goûté "
" Vive l'electricité"







!

samedi 16 janvier 2016

Menus citadins après guerre



Coll. Roger Andrieu

Après guerre les jeunes et moins jeunes Citadins reprenaient espoir après des années de restrictions et de misère, 
certains participèrent avec beaucoup d'humilité à des actes de guerre sans en faire étalage . Ils avaient vingt ou trente ans,
certains retrouvaient leur famille, leurs amis, tout était prétexte pour s'amuser rire et vivre, 
d'autres continuaient et s'engageaient pour l'Indochine l'actuel Viet-Nam.
Pour le repas de la Fête Saint Nazaire ou pour des copains un menu était confectionné. voir ci dessous deux exemples un de 1946 et l'autre de 1949.







Petite explication pour la Pâtisserie Destavilloise, à l'angle de la place Marcou se trouvait la patisserie de Monsieur Destaville. (aujourd'hui un café glacier)





























lundi 11 janvier 2016

la galette des Rois


Les membres de la Confrérie se sont réunis Samedi 9 janvier pour partager la traditionnelle galette des rois.


Sur la Photographie nous reconnaissons Gégé Grand Ecuyer Maître de Cérémonie, Jean claude Grand Chancelier, Guitou le Connétable et Robert Garde des sceaux.


les gentes dames avaient préparé un succulent apéro diététique: boudin, pâté, saucisson et plaque de pizza, arrosé avec du vin du pays Audois.




Notre Grand Chancelier Jean Claude était Roi l'espace d'une soirée et il sut parfaitement tenir son rôle.



Chanchou porta à son tour la couronne ainsi que Maïté, un autre préféra la glisser délicatement dans sa poche. La bulle de Limoux nous aida à terminer cette agréable soirée et le plaisir de nous rencontrer fut toujours aussi vivace. 




dimanche 10 janvier 2016

Un livre Eugène Viollet le Duc, regards croisés


Il m'a paru intéressant de vous indiquer cet excellent ouvrage que vous pouvez trouver " Garae etnopôle." Maison des Mémoires 53 rue de Verdun 11000 Carcassonne.
Actes du colloque de Carcassonne tenu le 5 et 6 juin 2014.







samedi 9 janvier 2016

Ville Basse? Ville Haute? Bastide ou Cité


C'est un dialogue entre deux amis, que j'estime beaucoup, Michel et Robert, qui discutent au sujet d'une photographie de la Bastide et de la ville prise de la Cité. Un dialogue savoureux qui montre leur amour pour cette ville de Carcassonne .





prise de la ville haute??? 


ou la Bastide depuis la Cité (je préfère), je n'aime pas ce mépris vis à vis de la plèbe de la Bastide!





J e m'attendais à une réaction...C'était de la provoc. Mais autrefois c'est ainsi qu'on désignait la Bastide.. Les Basses-Pyrènées, les Basses-Alpes, en ont eu marre de n'être pas à la hauteur dans ce bas monde. Si je peux me permettre un rapprochement, considérons le personnage "Ruy Blas " ( nom inventé par V.H. ) : il représente à la fois le peuple, qui se trouve " en bas "et aime une reine qui se trouve être " en haut "- Ruy = nom noble < Rodrigo; Blas = nom de roturier < Blaise. Quant à " la plèbe",proportionnellement aux populations, il y a certainement plus de gens qui bossent, à la Cité qu'à la Bastide. Et plus de "bourgeois " à la Bastide qu'à la Cité. Tout le monde voudrait être grand ( par la taille ), sauf ceux qui s'en fichent. L'avantage , lorsqu'on est de taille moyenne, c'est que personne ne sait s'il faut vous traiter de grand con ou de petit con, le cas échéant. Napoléon 1er, Victor Hugo, Adolphe Thiers mesuraient 1m,59 . De Gaulle, 2m 05. Lorsqu'on lui a présenté le grand Charles, tante Yvonne aurait dit en aparté : " Dans les immeubles élevés, le dernier étage est souvent le plus mal meublé ".Entre nous et en l'occurrence, elle se trompait bien. Sarkozy porte des talonnettes Hollande, qui est de taille comparable, n'en met pas .Lequel des deux se montre-t'il le plus convainquant ? Ne peuvent répondre à cette question que les gens qui sont de parti pris....... Fin de mes divagations vespérales. Bon appétit, Michel. Je me mets à couvert dans l'éventualité d'une redoutable riposte! Mais il faut voir les choses positivement, quand "la parole circule", cela ne peut qu'enrichir le débat.



 Nous avions une carrière à ciel ouvert sur le tumulus que je peux aussi qualifier d'oppidum. Un parisien, sûr de détenir la vérité s'empressa de déloger les pauvres des habitations des lices, et de reconstruire une double enceinte avec des créneaux tout neufs, des toits en ardoise ramenées du Massif Central à grands frais, des gargouilles copies de N.D de Paris...Certains le vénèrent! Les riches marchands-fabricants s'installaient dans de magnifiques hôtels particuliers dans la bastide avec jardin surélevé, étage pour les domestiques, écuries, et garages pour les voitures à chevaux, la "Grand-Rue" portait bien son nom, de l'Orient à l'Occident! Elle vivait dans les années 55/65, les commerçants ne regardaient pas la montre pour partir à Palaja, Cavanac, Villemoustaussou ou Villegailhenc dans leur villa avec piscine, ils vivaient au dessus de leur magasin ou échoppe et en retard on pouvait acheter une paire de chaussures chez Perxachs à 19h15! Le camion du laitier portait le lait frais chez Labécède à 6h30, les boueux ramassaient les poubelles juste après, on lisait le journal du voisin coincé à la poignée, les camions de primeurs des Trottes livraient fruits et légumes...La vie sociale existait de 6h à 21h dans une ambiance villageoise sympathique! Oh! que la Bastide était jolie!



J'ai vu un grand chien que son maître avait dressé afin qu'il aille lui prendre son journal au kiosque,rue de Verdun, et même lui prendre son lait chez le crêmier dans un petit bidon dont il tenait l'anse entre ses machoires. Je voulais terminer en évoquant mon grand ami Claude Fil, fils du grand Jules, qui s'amusait à dire : " J'aurais voulu être un haut landais et je n'étais qu'un bas varois ". Quant à Viollet, qui n'a pas violé que le duc, que seraient devenues les masures bàties entre les lices avec les pierres de murailles en ruine ? Les toits en ardoise m'ont courroucé. Et le tic et le toc ! Mais nous n'arrètons pas de nous extasier devant cette cité qui n'a de médiéval que le nom et quelques mètres d'authenticité qui ne nous engageraient guère à sortir nos appareils photo.



Coincé entre les "neo-ciutadins" suffisants d'habiter un lieu historique mais ignorants qui sont nos ancêtres les volques tectosages et l'aristocratie du commerce local (chaussures, vêtements..) ou la bourgeoisie déclinante du siècle de l'industrialisation (manufactures de draps, megisseries et tanneries, fonderies, matériel agricole et viticole..), pour s'élever, il n'y avait que les bancs de l'école laïque avec les instituteurs en blouse qui me jouaient Mozart sur leur violon (Jean Jaurès) et le lycée Paul Sabotier pour faire ses humanités (latin-grec) tout en jouant aux Mathématiques Elémentaires!






mardi 5 janvier 2016

Les Poubelles sous le Préau


                Anton a ajouté un petit rectificatif sur la Cité, probablement un oubli !!!!
Je sais que l'on va me dire encore: 'des polémiques inutiles et stériles', je sais, je sais tout ça.
Il faudrait donc se taire, ne pas donner d'avis, laisser faire et accepter l'inacceptable !!!
Excusez moi, je ne sais pas faire. Tout serait plus simple si tous pouvaient s'exprimer, s'écouter et se respecter.
Hélas, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué!

Ce dépôt d'ordures créé sous le préau de l'ex-école de garçons pose un certain nombre de questions:
1. l'hygiène (aujourd'hui les containers sont flambants neufs mais demain qui va les nettoyer?)  
2. les huiles usagées  (combien de restaurants dans la Cité??? 70? 80? combien de litres par jour?)
où sont stockées ces huiles? jetées?) 


Sur les vœux de bonne année adressés par notre Maire, avec un très beau panoramique de notre ville, je me suis permis de rectifier et d'ajouter une réalisation, passée sous silence, dans notre Cité, par nos dirigeants, responsables actuels. 
Avec nos petits moyens nous n'avons pas pu intervenir à temps pour que cette création intempestive et non justifiée ne voit le jour. Il aurait été plus simple de créer dans ce lieu public une aire de repos pour les visiteurs, les touristes et les Carcassonnais avec des toilettes accessibles plutôt qu'un parking et un dépôt d'ordures au profit de certains commerçants de la Cité qui semblent bénéficier d'une certaine bienveillance.
C'est une manie de souiller ces endroits qui ont vu passer maintes générations d'élèves. Déjà dans l'ancienne école des filles un dépôt d'ordures avait été installé contre l'avis de certains citadins. Aujourd'hui c'est le Préau de l'ancienne école des garçons qui est touché, en sachant qu'un deuxième endroit, plus discret celui là, réservé aux poubelles, se situe vingt mètres au dessus, dans le parking créé à l'ancien jardin de l'école.
Il est vrai aussi que l'avis des quelques rares habitants de la Cité  "quantité négligeable" n'est pas pris en considération.
Mon souhait pour 2016 serait que les rares habitants de la Cité dont certains depuis plusieurs générations, puissent s'exprimer avant et non pas après les réalisations, comme c'est trop souvent le cas. C'est probablement un vœux pieux mais on ne sait jamais, il ne faut jamais désespérer, la lumière peut parfois atteindre des lieux que l'on pensait irrécupérables.


lundi 4 janvier 2016

Un humble Ciutadin


Je ne pouvais pas laisser passer cet article du quotidien "l'Indépendant" paru dimanche 3 janvier 2016.
Un article de Christophe Castang qui brosse un portrait assez fidèle de notre ami Jean Louis, cependant pour écrire sur cet homme passionné et passionnant, d'une grande modestie et humilité, un seul livre ne suffirait pas. Il est tombé tout jeune dans la musique, il connait les grandes orgues de la basilique Saint Nazaire (sa seconde maison) dans les moindres détails et si mes souvenirs sont exacts il a pris des photographies  (à l'époque argentiques) de toutes les pièces de cet orgue qu'il chérit.




dimanche 3 janvier 2016

Proverbes Languedociens


René Nelli écrit:
Autour du Mariage : Proverbes du Bas-Languedoc La malice populaire s'est donnée libre cours sur ce sujet toujours actuel. Elle s'est cristallisée chez nous, surtout dans les proverbes languedociens, dont je vais vous donner un choix, de notre peuple ami de 'l'ironie et de la galéjade :

Quelques perles:

Un ome de palha val mai qu'una femna d'or. (Un homme de paille vaut plus qu'une femme d'or.) 


Una bona femna, una bona cabra, une bona miola, tres marridus bèstias. (Une bonne femme, une bonne chèvre, une bonne mule, trois méchantes bêtes.)





 L'amour s'estampa autant ben sus un fangàs que sus una bella rosa. (L'amour se jette aussi bien sur un bourbier que sur une belle rose.)

Femna muda es pas jamai batuda. (Femme muette n'est jamais battue.)

Femna parlant lati, femna qu'aima lou vi, valoun pas grand causa au toupi. (Femme parlant latin, femme aimant le vin, ne valent pas grand chose devant le pot au feu.)


 

samedi 2 janvier 2016

Photographies de l'an passé: mois de décembre 2015

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Mois de décembre 2015